Nationalisme romantique

Le nationalisme romantique est une forme de nationalisme dans lequel la légitimité politique de l'État est reconnue comme une conséquence organique de l'unité de ceux qu'il gouverne.



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Nationalisme - Romantisme

La liberté guidant le peuple est une représentation romantique de la révolution de 1830 d'Eugène Delacroix qui fut aussi un député élu.

Le nationalisme romantique (ou nationalisme organique, ou encore nationalisme indentitaire) est une forme de nationalisme dans lequel la légitimité politique de l'État est reconnue comme une conséquence organique de l'unité de ceux qu'il gouverne. Ceci inclut, selon la manière spécifique de pratiquer, la langue, l'ethnie, la culture, la religion et les coutumes nationales dans son acception basique ce ceux qui sont nés dans cette culture. Cette forme de nationalisme crût en réaction aux hégémonies dynastiques et impériales qui asseyaient leur légitimité de façon verticale, émanant d'un monarque ou de tout autre autorité qui justifie ainsi son existence. Ce pouvoir, irradiant vers le bas, est dévolu à Dieu ou aux dieux.
(voir : la page sur le droit divin et celle sur le mandat du Ciel)

Parmi les termes-clefs du Romantisme — et ses legs les plus durables — les affirmations culturelles de nationalisme romantique furent aussi centrales dans l'art et les philosophies politiques hérités des Lumières. Depuis ses prémisses, avec son attention au développement des langues nationales et des folklores, et les valeurs spirituelles des coutumes et traditions locales, jusqu'aux mouvements qui redessineront la carte de l'Europe et conduiront à l'appel en faveur de l'auto-détermination des nationalités, le nationalisme a été l'un des sujets clés dans le Romantisme, déterminant ses missions, ses expressions et ses significations.

Quelques repères historiques

Les balbutiements du nationalisme romantique en Europe fut en grande partie influencé par Jean-Jacques Rousseau et par les idées de Johann Gottfried von Herder qui affirma en 1784 que la géographie forme l'économie naturelle des peuples, et que leurs coutumes et leurs sociétés se développeraient naturellement selon des penchants environnementaux.

Depuis ses fondements à la fin du XVIIIe siècle, le nationalisme romantique a escompté l'existence d'une culture ethnique historique qui rencontrerait un parfait romantique ; le folklore s'est développé comme concept romantique nationaliste. Les frères Grimm se sont inspirés des rédigés de Herder pour créer un recueil parfaitisé de contes qui ont été certifiés comme authentiquement allemands. Le concept d'un patrimoine culturel hérité d'une origine commune est rapidement devenu central comme une question divisant l'opinion des partisans nationalistes : est-ce qu'une nation est unifiée parce qu'elle découle d'une même origine génétique, est-ce une question de race, ou est-ce la participation de la culture populaire dans la nature organique qui se réalise ? Cette question se place au cœur de divergences qui font rage jusqu'à actuellement.

Le nationalisme romantique a donné des clefs à la philosophie de Hegel qui avança qu'il y avait un «esprit du temps», un Zeitgeist qui habitait un peuple spécifique à un moment spécifique, et que lorsque ce peuple devenait un acteur de son histoire, c'était simplement parce que son moment culturel et politique était advenu. Hegel, comme allemand, déclara que ce moment historique avait vu le Zeitgeist s'établir chez les peuples germanophones.

En Europe continentale, les romantiques ont adhéré à la Révolution française à ses débuts, et se sont retrouvés à combattre la contre-Révolution dans le dispositif d'Empire transnational de Napoléon. Le sens de l'auto-détermination et de la conscience nationale qui a permis aux forces révolutionnaires de défaire les régimes aristocratiques est devenu à son tour la raison de résister à l'Empire français. En Prusse, le développement d'un renouveau spirituel comme un moyen d'engager une lutte contre Napoléon fut avancée par, entre autres, Johann Gottlieb Fichte, un disciple de Kant. Le mot Volkstum, voulant dire propriété nationale, fut forgé en Allemagne en réaction à l'hégémonie française.

Fichte exprima l'unité de la langue et de la nation dans sa treizième missive «à la nation allemande» en 1806 :

«Les liens premiers, originels et vrais des états sont au-delà du doute quant à leurs liens internes. Ceux qui parlent le même langage sont liés les uns aux autres par une grande variété d'attaches, invisibles par nature-même, bien avant qu'aucun art humain ne naisse ; ils se comprennent et ont le pouvoir de continuer à faire en sorte qu'ils se comprennent toujours mieux ; ils s'appartiennent mutuellement et sont par nature un tout uni et indivisible. (Kelly, 1968, pp. 190-191)»
«C'est uniquement lorsque chaque peuple, laissé à lui-même, se développe et se forme lui-même d'un commun accord ses propres qualités spécifiques, et uniquement lorsque dans chaque peuple chaque individu se développe lui-même en accord avec cette qualité commune qu'avec ses propres qualités, alors, et alors uniquement, la manifestation de la divinité apparaît dans son miroir véritable comme il devrait être ; et seul un homme qui, soit est complètement dépourvu de la notion de la primauté du droit et l'ordre divin, soit en est un ennemi obstiné, pourrait prendre sur lui de vouloir interférer avec cette loi, qui est la loi suprême dans le monde spirituel ! (Kelly, 1968, pp. 197-198)»

Nationalisme et révolution

En Grèce, les vues romantiques d'une connexion avec la Grèce classique[1] ont nourri la guerre d'indépendance grecque dans laquelle Lord Byron fut mortellement blessé. En 1829, l'opéra de Rossini Guillaume Tell marque les débuts de l'opéra Romantique, utilisant le mythe nationaliste fondateur de l'unité suisse, tandis qu'à Bruxelles une émeute après la représentation de l'opéra d'Auber la Muette de Portici, racontant une bluette sur fond d'oppression étrangère, a été l'étincelle qui déclencha la révolution belge, la première révolution réussie sur le modèle du nationalisme romantique. Les chœurs dans les opéras de Verdi reflétant l'âme des peuples opprimés ont inspiré deux générations de patriotes en Italie, en particulier l'air de Va pensiero dans Nabucco en 1842. Sous l'influence du nationalisme romantique, parmi les forces économiques et politiques, l'Allemagne et l'Italie trouvèrent leur unité politique, et des mouvements pour créer de façon identique des nations fondées sur le groupe ethnique ont fleuri dans les Balkans (voir par exemple le plébiscite de Carinthie en 1920), sur le pourtour de la mer Baltique, et en Europe centrale où le résultat ultime fut que les Habsbourgs succombèrent au déferlement des nationalismes romantiques. Avant cela, ce fut un fort élément de nationalisme romantique mêlé à du rationalisme des Lumières, dans une rhétorique utilisée dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord pour la déclaration d'indépendance et la constitution des États-Unis de 1787, autant que comme rhétorique lors de la vague de révoltes, inspirées par le nouveau sens des identités situées, qui libéra les colonies de la tutelle espagnole, les unes après les autres, à partir de 1811.

La culture folklorique et le langage

Le progrès américain par John Gast (vers 1872) célèbre le romantisme américain sous la forme de l'expansion vers l'ouest — une idée reconnue comme une destinée manifeste.

Le nationalisme romantique a inspiré les processus où les épopées populaires, les légendes rabâchées et même les contes de fées, publiés dans les dialectes locaux, furent associés avec une syntaxe moderne pour créer une version rénovée d'une langue. Des patriotes purent alors apprendre ces langues et élever leur enfants dans cette culture, forgeant alors en partie le programme d'établissement d'une identité différente. Le «landsmål» qui est la création d'une des langues norvégiennes modernes est la première langue à suivre ce processus, rejointe ensuite par des langues comme le tchèque, le slovaque, le finnois, puis plus tard l'hébreu, langues autour desquelles un nationalisme put se former. Le Katharevousa fut créé au début du XIXe siècle ; c'est un dialecte grec artificiel provenant délibérément de termes archaïques du grec ancien et servant de racine culturelle commune pour unifier une nouvelle nation grecque. Le Katharevousa excluait tout vocabulaire non-grec venant de l'italien et du turc ; le nationalisme romantique est par essence exclusif. Au XXe siècle cet aspect aura des conséquences dramatiques.

Les processus linguistiques du nationalisme romantique exigeait des modèles culturels linguisitques. L'historiographie romantique était centrée sur les biographies et produisait des figures culturelles héroïques. L'italien moderne des patriotes du Risorgimento comme Alessandro Manzoni se basa sur les dialectes toscans sanctifiés par Dante et Pétrarque. En anglais Shakespeare devint une icône sans cependant que sa langue ne devienne un modèle linguistique moderne : c'était plutôt une personnalité anglaise qui avait constitué un ensemble complet, artistiquement inattaquable, dont l'excellence surpassait tout.

Le nationalisme romantique a inspiré une collection de folklores comme ceux des frères Grimm. La vision selon laquelle les contes de fées, s'ils n'étaient pas souillés par d'autres sources littéraires, seraient restés intacts pendant des centaines d'années n'est pas une vision exclusivement nationaliste romantique, mais correspondait à l'idée que ces contes exprimaient la nature essentielle d'un peuple. A titre d'exemple, les frères Grimm furent critiqués parce que leur première édition n'était pas suffisament allemande, et ils tinrent compte de cette remarque. Ils écartèrent énormément de leurs contes collectés, pour leur similarité avec ceux de Perrault, ce qui, selon eux, prouvait leur caractère non authentiquement tudesque. «La Belle au bois dormant» demeura dans leur recueil grâce au mythe de Brunehilde qui les convainquit de son caractère profondément allemand. Ils ont aussi altéré le langage utilisé, changeant chaque mot «Fee» (la fée) par l'enchanteresse, chaque prince par fils de roi, chaque princesse par fille de roi[2]. L'œuvre des frères Grimm influença d'autres recueils, à la fois les incitant à recueillir des contes et les conduisant à la croyance identique que les contes de fées d'une région lui sont spécifiquement représentatifs, oubliant du même fait le poids des échanges culturels. Parmi ces personnalités partageant cette croyance on trouve le russe Alexander Afanasyev, les norvégiens Peter Christen Asbjørnsen et Jørgen Mœ et l'anglais Joseph Jacobs[3]. (Plus tard la recherches sur les folklores n'a pas évacué ces croyances dans la préservation des contes nationaux depuis des temps immémoriaux. )

Les épopées nationales

Article détaillé : épopée nationale.
«Le barde» par John Martin  : une vision romantique du seul barde gallois rescapé d'un massacre organisé par Édouard Ier d'Angleterre dans l'objectif d'anéantir la culture galloise

Le concept d'«épopée nationale»[4], c'est-à-dire une œuvre légendaire profondément mythifiée de poésies d'une l'importance déterminante pour certaine nation, est un autre manifestation du nationalisme romantique. La découverte (ou plutôt la redécouverte) de Beowulf sur un seul manuscrit, en premier lieu retranscrit en 1818, vint de l'impulsion du nationalisme romantique, après que le manuscrit est resté une curiosité ignorée des recueils scolaires pendant deux siècles. Beowulf tomba à pic pour procurer au peuple anglais son «épopée nationale» qui lui faisait défaut, juste lorsque le besoin se faisait ressentir : le fait que Beowulf était un goth de Suède fut aisément occulté dans les esprits. Les falsifications littéraire pseudo-gaélique d'«Ossian» a échoué en définitive à remplir le besoin de la première génération de romantiques.

La chanson de Roland qui n'était plus lue ni jouée s'évanouissait doucement des mémoires lorsque l'antiquaire Francisque Michel transcrit une vieille copie dans la bibliothèque bodléienne et l'édita en 1837. Ce fut le moment correct : l'intérêt des Français envers leur épopée nationale était en plein renouveau sous l'influence de la génération de romantiques. En Grèce, «l'Iliade» et «l'Odyssée» prirent une nouvelle dimension avec la guerre d'indépendance grecque.

Énormément d'autres «épopées nationales», des poèmes épiques reconnus comme reflétant l'esprit d'une nation, furent créées ou réactivées sous l'influence du nationalisme romantique : au sein de l'empire russe surtout, les minorités nationales ont cherché à affirmer leur propre identité face à l'entreprise de russification de la nouvelle poésie nationale — soit par des pièce d'un seul tenant, soit par assemblage de poésie folklorique, soit toujours par résurrection qui plus est anciennes poésies narratives. On trouve par exemple les poésies estoniennes comme Kalevipœg, finlandaises comme Kalevala, polonaises comme Pan Tadeusz , lettoniennes comme Lāčplēsis et arméniennes comme Sasuntzi Davit par Hovhannès Toumanian.

La poésie épique du hongrois János Arany illustre le passé légendaire de sa nation. «La mort du roi Buda» (1864), la première partie du projet d'une trilogie sur les Huns est peut-être un des meilleurs poèmes narratifs de la littérature hongroise. Les autres parties de la trilogie («Ildiko» et «Le prince Csaba») sont inachevées.

D'autres exemples d'œuvres épiques ont été reconnues ensuite comme «épopée nationale» : Popol Vuh (Maya), le Mahabharata (Inde) et le Voyage en Occident (Chine).

Des prétentions de primauté et de supériorité

À la même époque, les nationalités linguistiques et culturelles, mâtinées du concept pré-génétique de race, furent employées pour deux revendications rhétoriques toujours associées au nationalisme romantique actuellement : les revendications de primauté et les prétentions de supériorité. La primauté est l'Urrecht, le droit originel, d'une population culturellement et racialement définie sur un territoire donné, une «mère patrie» (une expression qui résonne fortement en chacun à l'époque). Les polémiques sur la supériorité raciale s'entremêlèrent inexorablement à la question du nationalisme romantique. Richard Wagner a notoirement déclaré que ceux qui étaient ethniquement différents ne pouvaient pas comprendre les significations artistiques et culturelles inhérentes à une culture nationale. Identifiant la juidaïté aussi comme style musical[5], il a attaqué particulièrement les Juifs comme refusant de s'assimiler à la culture allemande, et cela tout en étant incapable d'appréhender vraiment les mystères de sa musique et de son langage. Quelquefois des «épopées nationales» comme le sont les Niebelungenlied ont eu un effet galvanisant sur la politique sociale.

Arts

Église du Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé à Saint-Pétersbourg, 1883-1907
Article détaillé : Style romantique national.

Après les années 1870, le «romantisme national», comme il est d'une façon plus générale nommé devient un mouvement artistique répandu. Le nationalisme musical romantique est illustré par l'œuvre de Bedřich Smetana, en particulier dans le poème symphonique «Má Vlast». En Scandinavie et dans les régions slaves d'Europe spécifiquement, le romantisme national a apporté une série de réponses aux recherches stylistiques du XIXe siècle qui ne seraient pas uniquement historicistes, mais culturellement significatives et évocatrices. Quant à Saint-Pétersbourg une église fut construite à l'emplacement où le tsar Alexandre II a été assassiné, la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé, le style utilisé fut naturellement à la manière évoquant la tradition russe (voir illustration ci-contre). En Finlande, le recueil des épopées nationales, le Kalevala, a inspiré peintures et fresques dans un style romantique national qui s'est substitué ici aux styles Art nouveau plus internationaux. La tête de pont de ce mouvement en Finlande fut Akseli Gallen-Kallela (voir illustration ci-dessous).

La défense du Sampo d'Akseli Gallen-Kallela

Au tournant du siècle, l'auto-détermination ethnique est devenue une hypothèse perçue comme étant progressive et libérale. Il existait des mouvements d'inspiration nationaliste romantique en Finlande, dans le royaume de Bavière cherchant à sortir de l'unité allemande, et les nationalismes tchèque et serbe continuèrent à troubler les politiques impériales. La floraison des arts qui tirent leurs inspirations des épopées et des chants nationaux se poursuivirent avec la même vigueur. Le mouvement sioniste a revivifié l'hébreu et commença l'immigration vers la terre d'Israël, et les langues galloise et irlandaise ont aussi entamé des renouveaux poétiques.

Les développements politiques au XXe siècle

Lors des deux premières décennies du XXe siècle, le nationalisme romantisme comme idée devait avoir une influence principale sur les événements politiques. Les croyances parmi des puissances européennes étaient que les états-nations rassemblés autour du langage, de la culture et de l'ethnie étaient «naturels» d'un certain point de vue. C'est pour cette raison que, dans le sillage de la Grande Guerre, le président Woodrow Wilson militera en faveur de la création d'états auto-déterminés. Cependant, les idées fortes du nationalisme romantique seront appliquées à la lettre mais sans en respecter l'esprit. Dans le redécoupage des frontières européennes, la Yougoslavie fut intentionnellement créée comme un état coalisé à partir des peuples slaves méridionaux en concurrence, et le plus fréquemment hostiles l'un à l'autre. Parallèlement des mandats de la Société des Nations furent fréquemment donnés, non pour unifier les groupes ethniques, mais pour les diviser. Pour prendre un exemple, la nation actuellement connue sous le nom d'Irak a intentionnellement soudé trois vilâyets ottomans, unifiant des kurdes au nord, des arabes sunnites au centre et des arabes chiites au sud, essayant de créer un état-tampon suffisamment fort entre la Turquie et la Perse : fut positionné à la tête de cet état un roi étranger de la dynastie des Hachémites, mais natif de Hedjaz.

Après la Première Guerre mondiale, une version plus sombre du nationalisme romantique prit racine en Allemagne, qui d'une certaine manière a pris comme modèle l'impérialisme britannique et le Fardeau de l'homme blanc. L'idée était que les allemands devaient par nature diriger les peuples plus faibles. Le nationalisme romantique qui avait commencé comme une révolte contre les rois et les suzerains «étrangers», a bouclé la boucle en servant de prétexte pour une «Grande Allemagne» qui aurait contrôlé l'Europe.

Parce que le nationalisme romantique a connu une large palette d'expression, on le considère autant comme un facteur de l'éclosion des états indépendants en Europe, que responsable de la montée au pouvoir des nazis en Allemagne. Comme idée, si ce n'est comme mouvement spécifique, il est présent comme pré-supposé dans des débats sur la nationalité et l'identité nationale toujours actuellement, et énormément des nations du monde furent créées à partir des principes dessinés par le nationalisme romantique comme étant leur source de légitimité.

Frog Tsarevna, par Viktor Vasnetsov, 1918.

Le nationalisme romantique moderne aux États-Unis, caractérisé par le mythe de la Frontière, c'est-à-dire l'affirmation d'une domination naturelle sur les Amériques du nord et du sud (la doctrine Monrœ), et la croyance que la démocratie à l'américaine (i. e. étasunienne) devrait prévaloir sur les autres cultures (par exemple le projet pour le Nouveau Siècle Américain), a largement influencé la politique étrangère américaine et influence actuellement les conflits planétaires et les alignements religieux, ethniques et nationalistes.

Sources

  1. Voir Philhellénisme.
  2. Maria Tatar, The Hard Facts of the Grimms'Fairy Tales, p31, ISBN 0-691-06722-8
  3. Jack Zipes, The Great Fairy Tale Tradition : From Straparola and Basile to the Brothers Grimm, p 846, ISBN 0-393-97636-X
  4. Le chapitre III. Early National Pœtry de The Cambridge History of English and American Literature (1907-21) débute ainsi : «By far the most important product of the national epos is Beowulf…» (De loin, la production principale des épopées nationales est Beowulf…)
  5. Wagner, Das Judenthum in der Musik 1850.

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