Christophe Fratin

Christophe Fratin né à Metz le 1er janvier 1801, mort le 17 août 1864 au Raincy, est un sculpteur français associé au foyer artistique appelé l'École de Metz.



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Sculpteur français du XIXe siècle - Sculpteur animalier - Naissance en 1801 - Naissance à Metz - Décès en 1864 - École de Metz - Romantisme

Christophe Fratin né à Metz le 1er janvier 1801, mort le 17 août 1864 au Raincy (Seine-et-Oise), est un sculpteur français associé au foyer artistique appelé l'École de Metz.

Biographie

Il est né d'un père cordonnier et taxidermiste et d'une mère sans profession.

Après des études à l'École gratuite de dessin de sa ville natale, il expose régulièrement au Salon dans les années 1830. Il y rencontre le succès et l'estime : les critiques sont élogieuses, ses œuvres se vendent bien. Le jeune sculpteur, qui avait reçu des encouragements de la part de Géricault, est perçu comme un «rival redoutable» de Barye. On loue le «sentiment qu'il met dans ses œuvres», qui sont nombreuses, variées et «de bonnes dimensions».

Fratin fut l'un des premiers - sinon le premier -, dès 1835, à se lancer dans l'aventure de la sculpture d'édition. Le fondeur Quesnel, un des meilleurs praticiens du moment, réalise en petit les modèles qu'il a représentés au Salon, que la maison Susse propose à sa clientèle dans le magasin qu'elle a ouvert place de la Bourse.

Les succès répétés du sculpteur au Salon suscitent l'intérêt de l'aristocratie. Ainsi travaille-t-il au château de Dampierre pour le duc de Luynes, où il réalise surtout les Lions du fronton du bâtiment principal et des travaux de décoration intérieure. Le fils aîné de Louis-Philippe, le duc d'Orléans, le fait œuvrer, avec Klagmann, Feuchère, Pradier, entre autres, à la réalisation d'un en particulier de table princier, dont Barye est le principal artisan.

L'audience de Fratin devient rapidement mondiale : il part pour l'Angleterre en 1834, où il décore le château de lord Powerscourt. Il réalise aussi de grands groupes romantiques à Potsdam aux châteaux de Sans-Souci et de Babelsberg. Ce travailleur est infatigable : on retrouve ses œuvres jusqu'à Saint-Pétersbourg où elles décoraient le parc de l'Empereur de Russie.

Les premières années de déroulent sous le signe du succès. Il obtient des commandes publiques de sa ville natale, ville à laquelle il offre, l'année de son mariage avec la fille de son professeur de dessin, en 1836, deux Chiens grandeur nature - preuve de sa réussite et signe de sa générosité. Les travaux monumentaux trouvent leur aboutissement en 1855 avec le Fronton de la Chasse, dans la cour Visconti, pour le Louvre de Napoléon III.

Cependant, au cours des années 1840, les envois au Salon sont refusés et les commandes commencent à faire défaut. La carrière de l'artiste semble basculer et les difficultés financières, devenir prépondérantes.

Le sculpteur se concentre alors sur les éditions et la réalisations de petits modèles «pour le commerce». Cette inflexion dans sa carrière est reflétée par le portrait charge de petites dimensions Fratin par lui-même où l'humour du sculpteur - peu d'artiste se sont représentés de la sorte - apparaît de manière éclatante. Cette charge représente un homme volontaire et énergique, le regard portant loin, le menton en galoche et la barbe apportée. L'artiste, les mains dans les poches, est vêtu de son habit d'atelier et coiffé d'un bonnet. Ses poches grouillent de petits animaux : singes, dogues ou des épagneuls… Tout ce petit monde animal, figuré fréquemment de manière anthropomorphe, débondante où la vérité du sentiment l'emporte sur la réalité anatomique, où la vérité tout entière est dans la vie et la fougue que l'artiste y a mises.

Outre la violence apparente contenue dans certains groupes romantiques où prédateurs et proie semblent se livrer à des jeux de rôle, l'humour, la générosité et une certaine tendresse sont les constantes de cette collection qui forme une «comédie animale» impressionnante, la plus comique du XIXe siècle. Elle est aussi principale par le nombre de modèles; elle comporte plus de six cents numéros.

Repères biographiques

1801 :

Fils de Henry Fratin, cordonnier à Metz, et de Catherine Moderé son épouse, Christophe Fratin naquit le 1er Janvier (11 Nivôse 1801) dans cette même ville.

1818-1820 :

Durant sa jeunesse, Fratin fréquente l'École gratuite de dessin de Metz. Son nom figure dans les distributions de prix de dessin des “ Têtes ” ou “ selon la bosse ”.

1821-1831 :

Élève à Paris, selon ses propres dires, de Carle Vernet et Théodore Géricault. Fratin expose pour la première fois au Salon de 1831, l'année où Barye s'impose avec le “ Tigre dévorant un Gavial ”. Les critiques du Salon ne font pas référence à ses envois.

Salon de 1831, no 2232, Fermer, cheval anglais de pur sang, et deux bouledogues jouant et un lévrier, modèles en cire.

1832 :

Il n'y eut pas de Salon cette année pour cause de choléra.


1833 :

Fratin expose pour la seconde fois au Salon, l'année où Barye remporte un triomphe avec le monumental “ Lion au serpent ”. Cette année, les critiques ne rendent pas compte de son travail, mais s'étendent beaucoup sur les envois de Barye.

Salon de 1833 : no 2563, Lévrier après le forcé, étude en plâtre. no 2564, Dogue à la chaîne, étude en plâtre. no 2565, Écorché de cheval, modèle en bronze.

Fratin voyage en Angleterre, certainement suite à la vente (ou de la commande ?) des deux modèles du Salon “ Lévrier après le forcé ” et le “ Dogue à la chaîne ” qui ont été fondus en bronze et exposés chez le marchand Lebouteiller. L‘acquéreur est un membre du Parlement, Lord Powerscourt, qui destinera ces groupes à l'entrée de son château. Pendant toute la carrière de Fratin, l'intérêt de la clientèle anglaise ne se démentira pas, essentiellement pour les chevaux et les groupes de chasses. Au cours de ce voyage, à Londres, Fratin multiplie les études d'animaux.

1834 :

Participation accrue au salon de 1834, l'année où Barye est déjà moins présent à cause de la commande du En particulier de table du Duc d'Orléans. Le romantisme transparaît d'une manière évidente dans les sujets exposés où le cheval y tient une place importante. Les critiques sont nombreuses et fréquemment élogieuses, elles présentent Fratin comme le “ rival redoutable ” de Barye dans la représentation des animaux. Ces mêmes critiques soulignent l'ardeur de Fratin à créer des modèles et sa capacité à apporter des œuvres de grande taille.

Salon de 1834 : no 2047, Cheval sauvage attaqué par un tigre, groupe. no 2048, Cerf du Canada forcé par des chiens, groupe. no 2049, Portrait de Félix, cheval de pur sang du haras de Viroflay. no 2050, Panthère tenant une gazelle, groupe en plâtre. no 2051, Vache morte que les loups vont dévorer, étude en plâtre.

C'est de ces deux années, 1833 et 1834, qu'il faut situer l'exposition des œuvres de l'artiste chez Susse qui tenait un magasin passage des Panoramas. Fratin apparaît ici comme un précurseur, sinon le précurseur, de la petite sculpture d'édition. Les œuvres sont alors proposées en plâtre.

1835 :

Salon de 1835 : no 2249, Vautour dévorant une gazelle, groupe en bronze. no 2250, Tigre terrassant un jeune chameau, groupe en bronze. no 2251, Lion dévorant un zèbre, groupe en bronze. no 2252, Éléphant tuant un tigre, groupe en bronze. no 2253, Lionne apportant une proie à ses lionceaux, groupe en bronze. no 2254, Cerf couché se léchant, figure en bronze. no 2255, Cheval mort, figure en bronze. no 2256, Rinbow, étalon appartenant à M. Rieussec, figure en bronze. Ces bronzes sont fondus en sable d'un seul jet par M. Quesnel.

no 2257, Taureau combattant des chiens, groupe en plâtre. no 2258, Trois chevaux, scène de haras, groupe en plâtre.

C'est de cette année qu'il faut situer le véritable démarrage des éditions de bronzes de Fratin, fondus dans les ateliers de Mr Quesnel. Ils sont réalisés par la technique de la fonte au sable (qui permet une reproduction économique en grand nombre) et leurs dimensions fluctue de la “ demi nature ” à la plus petite taille (petits bronzes d'étagères).

1836 :

25 juin : mariage à Metz de Fratin avec Melle Marguerite Sophie Pioche. L'acte de mariage précise l'adresse de Fratin, rue de la Ville Évêque à Paris (adresse qu'on trouvera portée sur certains de ses ours anthropomorphiques). Le don fait à la ville de Metz, le lendemain de son mariage, de deux chiens en bronze témoigne de sa générosité, de sa fécondité, et sont aussi la preuve d'affaires florissantes.

Salon de 1836 : no 1928, Lion entraînant une proie, groupe en bronze. no 1929, Tigre tenant une proie, groupe en plâtre.

La critique est toujours élogieuse pour ces deux modèles, mais ils souffrent de la comparaison avec le “ Lion au serpent ” de Barye qui est alors exposé en bronze.

1837 :

17 avril : naissance du fils de Fratin, Charles-Auguste. Le salon de 1837 devient hostile à la jeune génération romantique et la participation de Fratin se réduit à sa particulièrement belle poulinière qui est la première du genre à être exposée au Salon.

Salon de 1837, no 1927, Jument et son poulain, groupe en plâtre. Refusés : Lion, figure ; Chevaux au galop, groupe.

1838 :

Fratin est absent du Salon, tout comme Barye, David d'Angers, Antonin Moine etc.

1839 :

Salon de 1839, no 2204, Aigle et vautour se disputant une proie, groupe en bronze

Au Château de Babelsberg, Potsdam, Aigle et vautour se disputant un chamois, bronze, signé, daté 1839.

1840 :

Décoration du château de Dampierre, pour le duc de Luynes : Lions (extérieur, fronton) et Consoles soutenues par des panthères (intérieur) Exécute Tony, cheval en bronze (Musée de Compiègne)

Salon de 1840, Refusés : Deux cerfs se battant, groupe ; Lion terrassant un cerf, groupe ; Enfant jouant renversé par un chien (cf. Janin, le salon de 1840, l'Artiste)

1842 :

Réalisation du pot a tabac : Hommage à Jean Nicot.

1849 :

1re Vente Fratin Paris, Bonnefons de Lavialle, 3-5 juillet, bronze, terres cuites.

Cette vente, la première d'une série de quatorze, est organisée par l'artiste pour la vente de ses œuvres. Elle comporte 240 numéros dont 137 épreuves en bronze et 103 terres cuites et non cuites, vendues “ avec droit de reproduction ”. Ce type de vente est particulièrement original pour l'époque et nous incite à penser que Fratin n'avait pas, au contraire de Barye et Mêne, de structure de vente qui lui permettait la diffusion de ses œuvres. Les autres ventes seront organisées sur un rythme annuel jusqu'au décès de l'artiste en 1864.

1850 :

Fratin séjourne à Vétheuil, jusqu'en 1854.

Au Château de Sans-Souci, Potsdam, Jardin sicilien, Lion et Jeune chevreuil, deux groupes bronze, signés, datés 1850, offerts par Louis-Philippe.

Figuraient aussi à Potsdam, disparus actuellement : Aigle et serpent, bronze, Sans-Souci. Combat entre un éléphant et un lion, bronze foncé, Babelsberg. Loup dans un piège, bronze, Lindstädt. Cerf poursuivi par des chiens, bronze brun clair, Babelsberg. Rhinocéros et tigre, bronze, Babelsberg. Cheval et panthère, bronze. Aigle et vautour dévorant un cerf, bronze, Babelsberg, 1851.

Salon de 1850 : no 3394, Cheval pur sang, bronze (commande du Ministère de l'Intérieur du 2 octobre 1848. Positionné sur l'Esplanade de Metz). no 3395, Deux cadres : têtes diverses. no 3396, Étude, terre cuite.

2e Vente Fratin Paris, Bonnefons de Lavialle, 16-18 avril 1850. Dans cette année de grande activité pour Fratin, cette vente est une des plus importantes organisées par le sculpteur. Elle comporte 400 numéros ; il s'agit essentiellement des modèles en bronze avec droit de reproduction (ce qui veut dire par conséquent que Fratin renonçait à l'exploitation de ces œuvres). Il est précisé au catalogue que ce sont les “ œuvres complètes de l'auteur, de grands groupes de chasse, groupes d'animaux de toute espèce, faits selon nature … ”. Vente charnière dans la carrière de Fratin, elle est peut-être induite par l'espoir de commandes importantes, comme celle du Château de Babeleberg, et confirme la structure commerciale retenue par Fratin, qui préfère proposer ses œuvres en ventes publiques plutôt que d'ouvrir boutique comme Barye ou Mêne. Cette vente ne dut pas être un succès dans la mesure où elle se répète, quasiment semblable, l'année suivante.


1851 :

8 octobre : commande du Ministère de l'État d'un modèle plâtre, Lion dévorant un cheval, sans destination (complétée par un arrêté du 1er juin 1852). Exposé au Salon de 1853, no 1351. (A. N., F. 21-82).

Exposition Universelle de Londres : Fratin y expose un groupe d'animaux en bronze (no 658).

3e et 4e Ventes Fratin Paris, Bonnefons de Lavialle, 27-29 octobre (modèles et surmoulés). Par le nombre d'œuvres proposées, cette vente est principale des quatorze organisées par Fratin. Elle se compose, pour la plus grande part, des invendus de la vente précédente de 1850. Fratin y a joint quelques modèles supplémentaires, toujours avec droit de reproduction, et 59 tirages en bronze - nommés surmoulés - des modèles proposés dans cette vente ainsi qu'à la vente précédente.

1852 :

Salon de 1852, no 1397, Le Triomphe de l'aigle, groupe en plâtre.

Ce modèle est-il à rapprocher du projet de couronnement de l'Arc de Triomphe par un aigle sur lequel Fratin souhaitait travailler et pour lequel Barye apporte une étude cette année là ?

10 novembre : commande de l'État d'un modèle plâtre, Les Aigles, sans destination ; commande du ministère de l'Intérieur Aigles, groupe en bronze. Fonte décrétée le 14 décembre, positionné sur l'Esplanade de Metz. (soldé le 4 juin 1853).

5e Vente Fratin Paris, Bonnefons de Lavialle, 6-7 février. (vente de 124 numéros dont 25 modèles, 12 surmoulés et 22 terres cuites). La structure de cette vente semble indiquer que Fratin avait vendu la plus grande partie de ses modèles en bronze lors des deux ventes précédentes, et elle indique, par les vingt deux terres-cuites, l'intérêt de Fratin pour ce matériau qu'il ne cessera d'utiliser jusqu'à sa mort.

1853 :

24 novembre : Fratin sollicite l'achat de son groupe Cheval terrassé par un tigre qui a été déposé au Jardin d'hiver.

Salon de 1853 : no 1351, Cheval attaqué par un lion, groupe en plâtre (cf. commande du 8 octobre 1851).

6e et 7e Ventes Fratin Paris, Bonnefons de Lavialle, 5 février, bronzes d'art, terres cuites, 8 modèles et 11 surmoulés, 69 numéros. C'est une petite vente, incluant des sculptures d'artistes divers, où il n'est pas spécifié que les modèles (proposés avec leur surmoulé) sont commercialisés avec droit de reproduction ; on y trouve aussi quelques terres cuites. Paris, Bonnefons de Lavialle, 20-21 mai, terres cuites, 205 numéros. Cette vente est la première constituée seulement de terres cuites, le catalogue ne précise pas si elles sont commercialisées avec droit de reproduction. Cette absence de précision et la comparaison avec les précédents catalogues nous incitent à penser qu'il peut s'agir des originaux de ses précédents modèles dont Fratin veut se défaire, certainement pour se consacrer à de nouvelles œuvres. Cela montre la personnalité dynamique d'un créateur fécond qui ne présente pas d'attachement spécifique à ses œuvres (au contraire de Barye et Mêne qui conserveront précieusement leurs modèles).

1855 :

Mai : commande d'un fronton représentant La Chasse, pour la Cour Visconti du Palais du Louvre alors en pleine construction, décoration à laquelle Barye et Carpeaux contribueront. Certainement à cause de cette commande, on note l'absence de vente publique des œuvres de Fratin cette année-là. À plusieurs reprises, Fratin se plaint du manque de commandes monumentales qui l'obligeait à produire des petits modèles pour le commerce.

1856 :

8e Vente Fratin Paris, Pillet, 3 mai, en toute propriété, terres cuites inédites, 98 numéros. Cette vente, la seconde seulement constituée de terres cuites, confirme que Fratin ne souhaitait plus vendre ses bronzes (on a vu qu'ils se vendaient difficilement), l'argent manquant aussi certainement pour la fonte des modèles. Fratin ne propose plus tandis que des modèles en terre originale. L'abondance remarquable de ces modèles, nouveaux pour la majorité, confirme la facilité de création de Fratin. Il reprend certains sujets des années 1830 et , en plus des Animaux et des Objets décoratifs habituels, propose une série originale et humoristique de 22 “ Groupes d'Ours Mythologiques ” et de 27 “ Bas reliefs fantastiques et graves ”. Ces deux dernières séries sont instructives des préoccupations et de la liberté dans les sujets de cette époque. La structure des éditions de Fratin diverge principalement de celle de Barye, Mêne et Fremiet, qui exploiteront durant leur carrière, par eux-mêmes ou par le biais d'éditeurs, les mêmes modèles dont le nombre sera bien inférieur à ceux de Fratin.

1857 :

Exposition au Jardin d'Acclimatation, terres cuites. Cette exposition se compose entre autres des invendus de la vente précédente et de certains modèles de la vente suivante.

9e Vente Fratin Paris, Pillet, 17 mars, en toute propriété, terres cuites inédites, 98 numéros. Cette vente qui comporte le même nombre de numéros que la vente précédente lui est identique par la structure : elle présente la “ Suite et fin d'une série d'Ours Mythologiques ” et tout une série de “ Figures, esquisse ” qui complètent les études d'animaux et les objets décoratifs.


1858 :

Exposition de la Société des Amis des Arts de Bordeaux, acquisition d'un Tigre en terre cuite.

10e Vente Fratin Paris, Pillet, 2 mars, en toute propriété, 83 terres cuites. Le rythme des ventes annuelles n'est pas perturbé par les autres expositions personnelles de Fratin dont la création de petits modèles ne semble pas faiblir. Les “ Charges ”, dont celle de “ Diane ”, apparaissent dans celle ci où la production s'équilibre entre “ animaux ”, “ bas reliefs ”et “ vases ”.

1859 :

11e Vente Fratin Paris, Pillet, 20 janvier, bronzes, terres cuites.

1860 :

7 février : commande d'un groupe en plâtre, Combat d'un lion et d'un tigre.

1861 :

Salon de 1861 : no 3355, Cerf couché entendant la trompe.

Exposition universelle sous le patronage de sa majesté l'Impératrice, ville de Metz : no 1122, Une scène dans l'amphithéâtre. Combat d'un lion et d'un tigre (donné au musée de Metz par le Ministre d'État).

12e Vente Fratin Paris, Pillet, 11 octobre, terres cuites inédites.

1862 :

25 septembre : commande par décision ministérielle du groupe en plâtre, Chèvre et chevreau.

Exposition Universelle, Londres

13e et 14e Ventes Fratin Paris, Pillet, 10 mai, sculptures. Paris, Pillet, 29 décembre, terres cuites inédites, 62 numéros.

1863 :

Salon de 1863 : no 2368, Cheval arabe, plâtre

15e Vente Fratin Paris, Fratin, 13 avril, sculpture, meubles.

1864 :

17 août : décès de Christophe Fratin, au Raincy (Seine et Oise). 19 août : Fratin est enterré au Cimetière de Montmartre.

16e Vente Fratin (après décès) Paris, Pillet, 20-21 décembre, terres cuites, plâtres et cires, 252 numéros.

Œuvres

Avatars

Une rue du quartier de Plantières à Metz porte le nom de Christophe Fratin depuis.

Notes et références

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"Christophe Fratin - Bouc et"

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