George Sand

George Sand, romancière et écrivain française, est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, plus tard baronne Dudevant, née à Paris le 1er juillet 1804 et morte à Nohant le 8 juin 1876.



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George Sand - Personnalité de la Deuxième République - Femme de lettres - Écrivain français du XIXe siècle - Écrivain romantique - Romantisme - Journaliste française du XIXe siècle - Épistolière - Salonnière - Nom de plume - Naissance à Paris - Naissance en 1804 - Décès en 1876 - Famille de George Sand

George Sand
Portrait de George Sand par Auguste Charpentier (1835)

Nom de naissance Amantine Aurore Lucile Dupin
Activité (s) Écrivain
Naissance 1er juillet 1804
Paris
Décès 8 juin 1876
Nohant
Langue d'écriture Français

George Sand, romancière et écrivain française, est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, plus tard baronne Dudevant, née à Paris (Anciennement au n° 15 de la rue Meslay, au 46 aujourd'hui, 3e arrondissement) le 1er juillet 1804 et morte à Nohant le 8 juin 1876.

Elle écrivit des romans, des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre, une autobiographie, des critiques littéraires, des textes politiques.

Amantine Aurore Lucile Dupin, femme de lettres romantique, naquit à Paris en 1804. Elle était cependant mieux connue sous le pseudonyme de George Sand. Elle était la fille de Maurice Dupin et de Sophie Victoire Delaborde, la petite-fille de Charles Louis Dupin de Francueil. Par son père, elle est l'arrière-petite-fille du maréchal général de France Maurice de Saxe (1696-1750), bâtard légitimé d'Auguste II de Pologne, prince électeur de Saxe et roi de Pologne.

En 1831, George Sand commença sa carrière en œuvrant pour le Figaro. Avec son amour, Jules Sandeau, elle rédige, sous le pseudonyme J. Sand, de nombreux articles. Ce n'est que plus tard qu'elle adopta, pour les textes qu'elle rédigeait seule, le nom de George (sans «s») Sand. Elle commença à parler d'elle-même sous la forme masculine ; elle se plut à porter des vêtements d'homme, à fumer des cigares ainsi qu'à avoir de nombreux amants ; elle essaya aussi d'entrer dans les lieux réservés aux hommes, comme les bibliothèques restreintes, les musées et la fosse du théâtre, ce qu'elle parvint à faire en s'habillant comme un homme. Énormément supposaient que George essayait de devenir un homme ; en fait, elle se battait contre le stéréotype des femmes, afin qu'elles aient les mêmes libertés que les hommes.

George Sand n'était pas la première femme écrivain ni la dernière à user d'un pseudonyme masculin en France mais fut l'une des premières françaises à vivre de sa plume. En utilisant un pseudonyme masculin, elle souhaitait se faire l'égale des hommes. Elle voulait être jugée non pas comme femme, mais sur la base de ses talents.

George Sand a été lue par les hommes et les femmes. Dans ses rédigés, elle décrivait les femmes comme des individus à part entière, rendait ses lectrices plus confiantes en elles-mêmes, et elle devint l'idole de l'ensemble des femmes.

Juste un an après avoir commencé à travailler à son nouvel emploi, elle publia son premier livre Rose et Blanche, en collaboration avec Jules Sandeau. Par la suite, elle travailla énormément à la création d'un second livre, Indiana, lequel, cette fois était son œuvre personnelle. Six mois plus tard, elle révéla un brouillon de son roman suivant, Valentine. Même si ses deux premiers romans furent des succès, seul son troisième roman, Lélia , lui apporta la gloire. Peu après sa publication, George Sand entra dans le cercle des grands auteurs français, et fit par conséquent partie des écrivains les mieux rémunérés.

Elle eut de nombreux rapports ouverts avec les hommes célèbres qu'elle connaissait à Paris, dont Jules Sandeau, Alfred de Musset, Honoré de Balzac (auquel elle consacre quelques pages spirituelles et amicales dans Histoire de ma vie) et Frédéric Chopin.

Après Jules Sandeau, sa liaison suivante fut avec Alfred de Musset, un jeune auteur. Mais juste une année plus tard, Musset tomba malade à Venise et George s'éprit du docteur Pietro Pagello, qui le soignait.

En 1834, George revint avec Pagello à Paris, où elle se réconcilia avec Musset. Mais ils continuèrent à avoir de nombreuses disputes qui conduisirent à des séparations répétées ; ils décidèrent finalement de mettre fin à leur relation. De 1835 à 1837, George Sand fut l'amante de Michel de Bourges, l'avocat qui défendait ses intérêts, ardent républicain et futur député.

George eut d'autres relations après Musset, mais aucune aussi remarquable que celle qu'elle eut avec Frédéric Chopin. Ils se rencontrèrent en 1836. Ils avaient une liaison compliquée. Ils devinrent amis, puis amants pour se comporter finalement comme mère et fils.

George Sand en 1864. Photographie de Nadar.

Elle naît à Paris en 1804, mais passe la plus grande partie de son enfance à Nohant dans l'Indre. Orpheline de père, à 4 ans, Aurore Dupin rencontra une enfance assez libre chez sa grand-mère paternelle.

Ce séjour à la campagne la marquera et elle reprendra le thème de la vie à la campagne dans plusieurs de ses ouvrages (comme dans La Mare au Diable). En 1822, elle épouse le baron Casimir Dudevant avec lequel elle aura deux enfants : Maurice (né en 1823) et Solange (née en 1828) qui épousera le sculpteur Auguste Clésinger. Particulièrement vite elle quitte son mari et connaît alors une vie amoureuse plutôt agitée.

En 1831 paraît son premier roman Rose et Blanche qu'elle a rédigé en collaboration avec Jules Sandeau, son amant, de qui elle s'inspire pour son pseudonyme Sand.

Elle dissimule de moins en moins son penchant pour le port de vêtements masculins, quoiqu'elle continue de s'habiller en femme pour les occasions. Ce «déguisement» autorise Sand de circuler plus librement dans Paris (fumant la pipe), et lui favorise l'accès aux lieux où une femme de son rang peut se voir refuser l'accès. C'est une pratique exceptionnelle au XIXe siècle, où les codes sociaux, surtout parmi les classes aisées, ont la plus grande importance. En conséquence, Sand perd une bonne partie de ses privilèges de baronne. Paradoxalement, l'usage de l'époque permet aux femmes des classes aisées de vivre scindées de leurs époux sans perdre la face, si elles ne commettent pas ouvertement d'«irrégularité» flagrante.

Portrait de George Sand et Frédéric Chopin par Eugène Delacroix en 1838.

Dans ses premiers romans, autobiographies transposées, elle assimile la quête du bonheur personnel à une régénération sociale. Ainsi, Indiana (qu'elle signe pour la première fois du pseudonyme de George Sand, 1832) et Lélia (1833) sont des œuvres romanesques et lyriques où l'amour se heurte aux conventions mondaines ainsi qu'aux préjugés sociaux, comme s'y heurta George Sand lors de ses passions successives avec Musset et Chopin.

En 1833, 1834 et 1835, elle connaît une liaison mouvementée avec Alfred de Musset dont elle tirera Elle et Lui. Elle le quitte pour le Docteur Pagello. Plus tard, elle connaît Franz Liszt et en particulier Frédéric Chopin avec qui elle vivra près de 10 ans (de 1838 à 1847). À Majorque, on peut visiter actuellement la chartreuse de Valldemossa où elle passa l'hiver 1838-39 avec Frédéric Chopin et ses enfants.

En 1841 elle fonde avec Pierre Leroux la Revue Indépendante.

George Sand se lie à des démocrates comme Arago, Barbès ou encore Bakounine et se réjouit en 1848 de la chute du roi Louis-Philippe et de la fin de la Monarchie de Juillet affichant son engagement politique social et communiste. Après les journées de juin, elle se retire en 1851 à Nohant, contrainte d'écrire pour le théâtre à cause d'embarras financiers. Mais elle ne se cantonne pas à Nohant, voyageant autant en France et surtout chez son grand ami Charles Robin Duvernet au château du Petit Coudray ou encore à l'étranger.

Elle continue à mener une vie hors-norme et agitée. Elle a d'autres liaisons amoureuses, se bat pour la défense des droits des femmes et pour ses idées politiques, se lie d'amitié surtout avec Flaubert et Théophile Gautier, fréquente les frères Jules et Edmond Goncourt.

En 1868, Lina, sa belle-fille, donne naissance à une petite Gabrielle, qui sera la dernière petite-fille de George Sand, et qui sera connue sous le nom de Gabrielle Sand.

Elle n'arrête pas d'écrire jusqu'à sa mort en 1876 où elle meurt d'une occlusion intestinale, à l'âge de 71 ans, à Nohant. Victor Hugo déclara le 8 juin 1876 : «Je pleure une morte, je salue une immortelle !».

Tombe de George Sand, vue depuis le cimetière communal d'où elle n'est pas directement accessible.

  • A sa mort, Georges Sand laissa derrière elle une collection de verres à eau, vin, coupes à champagnes, etc. qu'elle s'était fait faire en cristal. Ces verreries, dont les authentiques sont actuellement quelquefois trouvables chez certains marchands spécialisés, ont la particularité d'être à leurs bases colorées de bleu et , dans les parties supérieures de jaune.

Parmi les particulièrement nombreuses biographies consacrées à Sand, on peut citer celle de Michel Souvais : George Sand et son Panthéon. [1] En 2007, Céline Dion dans son album D'elles, a rendu hommage à George Sand, en chantant une de ses lettres rédigée à Alfred de Musset.

manuscrit de Un hiver à Majorque.
  • Le Commissionnaire (avec Jules Sandeau) (1830).
  • Rose et Blanche (avec Jules Sandeau, roman, 1831)
  • La Fille d'Albano (1831)
  • Valentine (roman, 1831)
  • Indiana (roman, 1832)
  • Lélia (roman, 1833)
  • Aldo le Rimeur (1833)
  • Une conspiration en 1537 (1833)
  • Journal intime (1834)
  • Jacques (roman, 1834)
  • Le Secrétaire intime (roman, 1834)
  • La Marquise (roman, 1834)
  • Garnier (conte, Urbain Canel / Adolphe Guyot 1834)
  • Lavinia (1834)
  • Métella (1834)
  • André (roman, 1835)
  • Mattéa (1835)
  • Leone Leoni (roman, 1835)
  • Simon (roman, 1836)
  • Mauprat (1837)
  • Dodecation, ou le Livre des douze. Le Dieu inconnu (1837)
  • Les Maîtres mozaïstes (roman, 1838)
  • La Dernière Aldini (roman, 1838)
  • L'Orco (1838)
  • L'Uscoque (roman, 1838)
  • Gabriel (dialogue, 1839) [lire en ligne]
  • Spiridion (roman, 1839)
  • Les Sept Cordes de la lyre (théâtre, 1840)
  • Cosima, ou la Haine dans l'amour (théâtre, 1840)
  • Pauline. Les Mississipiens (roman, 1840)
  • Le Compagnon du tour de France (roman, 1841)
  • Mouny Roubin (1842)
  • Georges de Guérin (1842)
  • Horace (1842)
  • Un hiver à Majorque (récit, 1842)
  • La Comtesse de Rudolstadt (roman, 1843)
  • La Sœur cadette (1843)
  • Kouroglou (1843)
  • Carl (1843)
  • Jean Zizka (roman historique sur la vie de Jan Žižka, chef de guerre hussite, 1843)
  • Consuelo (roman, 1843)
  • Jeanne (roman, 1844)
  • Le Meunier d'Angibault (roman, 1845)
  • La Mare au diable (roman, 1846)
  • Isidora (roman, 1846)
  • Teverino (roman, 1846)
  • Les Noces de campagne (roman, 1846)
  • Evenor et Leucippe. Les Amours de l'Âge d'or (1846)
  • Le Péché de M. Antoine (1847)
  • Lucrézia Floriani (roman, 1847)
  • Le Piccinino (roman, 1847)
  • La Petite Fadette (roman, 1849)
  • François le Champi (roman, 1850)
  • Le Château des Désertes (roman, 1851)
  • Histoire du véritable Gribouille (1851)
  • Le Mariage de Victorine (théâtre, 1851)
  • La Fauvette du docteur (1853)
  • Mont Revèche (1853)
  • La Filleule (1853)
  • Les Maîtres sonneurs (1853)
  • Adriani (1854)
  • Flaminio (théâtre, 1854)
  • Histoire de ma vie (autobiographie, 1855)
  • Autour de la table (1856)
  • La Daniella (1857)
  • Le Diable aux champs (1857)
  • Promenades autour d'un village (1857)
  • Ces beaux messieurs de Bois-Doré (1858)
  • Elle et lui (récit autobiographique sur ses relations avec Musset, 1859)
  • Jean de la Roche (1859)
  • L'Homme de neige (1859)
  • Narcisse (1859)
  • Les Dames vertes (1859)
  • Constance Verrier (1860)
  • La Ville noire (1861)
  • Valvèdre (1861)
  • La Famille de Germandre (1861)
  • Le Marquis de Villemer (1861)
  • Tamaris (1862)
  • Mademoiselle La Quintinie (1863)
  • Les Dames vertes (1863)
  • Antonia (1863)
  • La Confession d'une jeune fille (1865)
  • Laura (1865)
  • Monsieur Sylvestre (1866)
  • Le Don Juan de village (théâtre, 1866)
  • Flavie (1866)
  • Le Dernier Amour (1867)
  • Cadio (théâtre, 1868)
  • Mademoiselle Merquem (1868)
  • Pierre qui roule (1870)
  • Le Beau Laurence (1870)
  • Malgré tout (1870)
  • Césarine Dietrich (1871)
  • Journal d'un voyageur au cours de la guerre (1871)
  • Francia. Un bienfait n'est jamais perdu (1872)
  • Nanon (1872)
  • Contes d'une grand'mère vol. 1 (1873)
  • Ma sœur Jeanne (1874)
  • Flamarande (1875)
  • Les Deux Frères (1875)
  • La Tour de Percemont (1876)
  • Contes d'une grand'mère vol. 2 (1876)
  • Marianne (1876)
  • Légendes rustiques (La Reine Mab. La Fée qui court. Fanchette) (1877)
  • L'Orgue du Titan (1873)
  • Les Ailes du courages

Aurore Dupin (1804-1876) dite George Sand est arrière-petite-fille du maréchal de Saxe (1696-1750)  :

Source : Joseph Valynseele et Denis Grando, À la découverte de leurs racines, tome II, 1994, L'Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, chapitre «George Sand».

Par cette ascendance, George Sand était cousine au 7e degré civil des rois de France Louis XVI (mort avant sa naissance), Louis XVIII et Charles X, qui étaient petit-neveux, dans la branche légitime, de Maurice de Saxe, et cousins issus de germain de son père Maurice Dupin.

  • Correspondance, 1812-1876, édition de Georges Lubin, 25 tomes, Paris, Garnier frères, 1964-1991.
  • George Sand - Marie Dorval, Correspondance inédite, édition de Simone-André Maurois, préface d'André Maurois, Paris, Gallimard, 1953.
  • Correspondance Gustave Flaubert, George Sand, édition d'Alphonse Jacobs, Paris, Flammarion, 1981.
  • Marie d'Agoult, George Sand : correspondance, Bartillat, 1995.
  • George Sand et Eugène Delacroix, Correspondance : le rendez-vous manqué (édition de Françoise Alexandre). – Paris : les Éditions de l'Amateur, coll. «Regard sur l'art», 2005. – 303 p. -[8] p. de pl., 22 cm. – ISBN 2-85917-381-1.

  • Jean-Claude Sandrier, George Sand, le parti du peuple, Sury-en-Vaux, Ed. AàZ Patrimoine, 2004.
  • Joseph Barry, George Sand ou le scandale de la liberté (1982), Paris, Seuil Collection Points essais, 2004.
  • Michel Souvais, George Sand et son Pantheon, Dualpha, 2003.
  • Hortense Dufour, George Sand la somnambule, Monaco, Le Rocher, 2004.
  • Anne-Marie de Brem, George Sand, un diable de femme, Gallimard Collection Découvertes/Paris-Musées, 1997.
  • Jacques-Louis Bouchin, George Sand, l'amoureuse, Paris, Ed. Ramsay J. -J. Pauvert, 1992.
  • Huguette Bouchardeau, George Sand, la lune et les sabots, Paris, R. Laffont, 1991.
  • Hubert Delpont, "L'apparition de George Sand", Ed d'Albret, 2004.
  • Georges Lubin, Album Sand, Gallimard Collection Bibliothèque de la Pléiade, 1973.
  • Charles Maurras, Les Amants de Venise, George Sand et Musset, Paris, Boccard, 1914.
  • André Maurois, Lélia ou la vie de George Sand, 1952.
  • Auguste Devaux, George Sand, ... , Paris, P. Ollendorff, 1895.

  • Christine Planté (éd. ), George Sand critique, 1833-1876, Tusson, du Lérot, 2007.
  • George Sand, terroir et histoire, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2006.
  • Brigitte Diaz et Isabelle Hoog Naginski (dir. ), George Sand, pratiques et imaginaires de l'écriture : l'écriture sandienne, Cæn, Presses universitaires de Cæn, 2006.
  • Sophie Martin-Dehaye, George Sand et la peinture, Royer, 2006.
  • George Sand, le roman monstre, Revue des deux mondes, 2004.
  • Henry James, George Sand, Le Mercure de France, 2004.
  • Martine Reid, Signer Sand : l'œuvre et le nom, Belin, 2003.
  • Béatrice Didier, George Sand écrivain : "un grand fleuve d'Amérique", Presses universitaires de France, Paris, 1998.
  • Béatrice Didier et Jacques Neefs (dir. ), George Sand, écritures du romantisme II, Saint-Denis, Presses Univ. de Vincennes, 1990.
  • Georges Lubin, George Sand en Berry, Hachette, 1967

  • Sa propriété, à Nohant (Indre), dans la romantique vallée noire de la province du Berry.
  • Sa maison de Gargilesse dans le Val de Creuse (Indre) où, avec son amour Manceau, elle passera en villégiature de nombreuses années.
  • Sa maison-musée à Gargilesse.
  • Le château et le village de Culan, à 30 kilomètres de Nohant.
  • Son fonds manuscrits à la bibliothèque historique de la ville de Paris.

George Sand dans la culture populaire

  1. George Sand et son Panthéon, Michel Souvais, Dualpha éditions, 2004, ISBN 2-912476-96-8

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